Le projet s’appuie sur la création fictive d’une ligne de téléphérique urbain reliant Orsay ville (très enclavée par sa topographie) au plateau de Saclay et son futur pôle scientifique. La situation géographique et le relief marqué entre ses deux villes implique un parcours en plusieurs étapes. « Tensions superficielles » est composé de trois gares élaborées avec l’idée constante de déployer une architecture aérienne tout en limitant son emprise au sol. Ces trois ouvrages singuliers, qui tirent profit du contexte pour trouver leur physionomie, intègrent également des équipements publics qui répondent aux besoins des usagers et au rôle de ces espaces d’hyper-connexion.